Le titre de cette œuvre écrite en 2016, signifiant « funérailles musicales », constitue un évident hommage à l'œuvre éponyme de 1636 de Heinrich Schütz. La raison d'être profonde de cette composition est de servir et d'amplifier le sens des versets bibliques utilisés dans ses sept mouvements. L'harmonie tonale, presque archaïsante, régnant dans ces pages n'est donc en rien une prise de position post-moderniste en soi, mais le moyen que le compositeur a jugé le plus adéquat pour mettre en valeur la stricte écriture polyphonique et l'atmosphère particulière qui caractérisent la partition.
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